Association CONSEIL DE COORDINATION DES ORGANISATIONS ARMÉNIENNES DE FRANCE (CCAF) - DROME ARDECHE

à caractère raciste Le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF) – Drôme Ardèche est une association à but non lucratif créée en 1994. Son siège se trouve au 13 rue Camille Flammarion à Valence. Cette association a pour objectif de coordonner les actions et les commémorations liées au 24 avril 1915, date symbolique du début du génocide arménien perpétré par le gouvernement turc. Le CCAF – Drôme Ardèche est une branche locale du Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France, une fédération nationale qui regroupe diverses organisations arméniennes. Son rôle est donc de représenter et de défendre les intérêts de la communauté arménienne dans la région. Le 24 avril est une date importante pour le peuple arménien car c'est le jour où, en 1915, les autorités ottomanes ont déclenché une campagne de persécution et d'extermination contre les Arméniens. Ce génocide a causé la mort de plus d'un million de personnes et a marqué à jamais l'histoire de ce peuple. Aujourd'hui encore, les Arméniens commémorent cette tragédie et luttent contre le négationnisme et le révisionnisme afin de faire reconnaître cette sombre période de l'histoire. Le CCAF – Drôme Ardèche agit également pour la reconnaissance par la Turquie du génocide arménien et pour que les conséquences de ce crime soient reconnues. En coordonnant les actions des différentes organisations arméniennes et en travaillant en collaboration avec la fédération nationale, l'association agit pour faire entendre la voix de la communauté arménienne et défendre ses intérêts. En plus de son engagement pour la mémoire du génocide arménien, le CCAF – Drôme Ardèche lutte contre toutes les formes de discrimination et de racisme envers la communauté arménienne et plus largement envers toute personne victime de discrimination fondée sur son origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse. L'association exerce tous les droits reconnus à la partie civile pour poursuivre les auteurs d'actes racistes ou discriminatoires. Le CCAF – Drôme Ardèche est également actif dans l'exercice de ses droits en tant que partie civile concernant l'apologie des crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocides. L'association s'engage à ne pas laisser impunis les auteurs de ces crimes et à défendre les victimes. Enfin, le CCAF – Drôme Ardèche organise régulièrement des événements culturels et éducatifs visant à promouvoir la culture arménienne et à sensibiliser le grand public à l'histoire et à la lutte du peuple arménien. L'association est ouverte à toute personne partageant ses valeurs et ses engagements et invite chacun à rejoindre ses actions pour défendre la mémoire et les droits du peuple arménien. En somme, le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France – Drôme Ardèche est une association engagée dans la défense de la mémoire et des droits du peuple arménien, mais également dans la lutte contre toutes les formes de discrimination. Par son action, l'association contribue à faire entendre la voix de la communauté arménienne et à lutter contre les injustices.

coordonner les commémorations annuelles du 24 avril 1915, date symbolique à laquelle débuta le génocide des Arméniens perpétré par le gouvernement turc de 1915 ; soutenir le combat contre le négationnisme et le révisionnisme par la prévention de tous les crimes contre l'humanité ; soutenir les actions menées pour la reconnaissance par la Turquie du génocide des Arméniens et les conséquences qui en découlent ; coordonner les actions des organisations arméniennes de Drôme-Ardèche et plus largement de France lorsque les intérêts de la communauté arménienne de France ou ceux du peuple arménien sont concernés ; agir en exerçant tous les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne l'apologie des crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocides ; combattre le racisme ou assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse et exercer tous les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne la poursuite des infractions